Au temps, où la Vendage était dépourvue de pont, les voleurs chaque nuit s’y dissimulaient pour piller les gens.
Le bailli (c’était Fine blague) en devenait presque enragé, on disait qu’il en rossait sa servante, jamais ses agents n’en avaient pu arrêter un seul. Il me semble que ses sbires se dissimulaient, se souciant peu de faire abîmer leur peau ; ils arrivaient toujours trop tard...
D'après « Les Contes du Brivadois » de Touana Bartan (Antoine Bertrand) - Editions René Borel à Brioude – 1934 – Traduction Albert Massebeuf
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