A défaut de médecin, l’homme ne pouvait souffrir indéfiniment… alors on avait recours à ce qu’il convenait d’appeler des « remèdes de bonne femme » à défaut on cherchait parfois la cause du mal dans l’irrationnel … On rapportait que l’homme qui prenait pour épouse un grand nombre de femmes après la mort des premières, avait le foie, ou les poumons, ou la rate blanche, et qu'il est lui-même la cause de ces morts ….
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D’après le Docteur Pommerol - Revue des traditions populaires - Auteur : Musée de l'homme (Paris) - Éditeur : Société des traditions populaires au Musée d'ethnographie du Trocadéro (Paris) Date d'édition : Juillet 1907
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